Après une évaluation pilote du dispositif ShangRing en 2011, le Kenya a mené une surveillance active des événements indésirables associés à son utilisation de 2016 à 2018 afin d'évaluer plus avant la sécurité et l'adoption de la circoncision masculine assistée par ShangRing et d'identifier tout goulet d'étranglement opérationnel à son utilisation généralisée sur la base de données provenant d'un plus grand nombre de procédures dans des environnements de soins de santé de routine. Les résultats sont présentés dans cet article de PLoS One.